La pose d’une rustine sur la chambre à air

Commencez l’opération par le démontage complet de la roue à réparer. A l’aide d’un matériel adapté à cet effet, sortez la chambre à air de l’enveloppe dans lequel elle se trouve. Essayez de localiser l’endroit de la perforation. Gonflez la chambre à air et plongez-la dans un bassinet d’eau. Normalement, la fuite se verra par des bulles bien évidentes. A l’aide d’un marqueur, tracez la zone à réparer. Nettoyez cette partie en vous débarrassant d’éventuel dépôt de poussière. Après avoir bien séché, frottez la surface avec du papier de verre à grains fins. Cette astuce donne une meilleure adhésion. Appliquez la colle fournie avec la rustine sur une zone de 1 cm ou plus autour du trou. D’un seul geste, posez le dispositif de bouchage. La rustine colle en quelques minutes. Remontez le pneu gonflé.

La réparation d’un pneu de vélo tubeless

Pour les néophytes, le pneu de vélo tubeless est une enveloppe sans chambre à air. Lors d’une crevaison, il suffit de coller la rustine à l’endroit du trou. Le dispositif se pose à l’intérieur. Pour que la réparation dure, grattez légèrement le contour de l’endroit crevé. Il se peut que l’intérieur de l’enveloppe ait des matières grasses. Pour dégraisser, utilisez des produits dégraissants tels que le trichloréthylène. Poursuivez en appliquant la colle, puis la rustine. Cette dernière peut aussi être entièrement être autocollante. Quoi qu’il en soit, essayez de ne pas recoller plusieurs fois. Puis, appuyez avec la main ou en maintenant un poids sur la zone de collage en attendant que la rustine colle. Remontez le vélo et pédalez tranquillement.

La sécurité avant tout

Aujourd’hui, les voitures disposent de technologies très pratiques pour assurer la protection et la sécurité des conducteurs et des piétons. On parle des systèmes de freinage ultra performants ou encore des correcteurs de trajectoire ou des caméras arrières, entre autres innovations en la matière. Or, les voitures anciennes en sont dépourvues et ne possèdent même pas d’airbag. Alors, analysez correctement la voiture ancienne que vous souhaitez vous procurer, ou celle que vous possédez déjà, tant au niveau des freins (les freins à disques avant sont préférables au tambours), de la suspension et aussi de la direction. Ne sous-estimez pas l’importance de l’éclairage, vital pour la conduite de nuit. Grosso modo, soyez plus prudent et prenez des mesures supplémentaires quand vous conduisez une voiture ancienne.

Pensez à l’entretien

Pour une voiture ancienne, comme pour n’importe quelle voiture, il est nécessaire de bien vérifier quel est son état et s’il sera facile à entretenir. En effet, si vous passez votre temps à la réparer ou à l’envoyer chez le mécanicien, elle n’en vaut pas la peine. Il est bien de noter que plus une voiture est populaire et vendue, plus les pièces détachées sont nombreuses et abordables et c’est l’inverse quand la voiture est rare et vendue à peu d’exemplaires. N’oubliez donc pas de calculer tout cela dans votre budget si vous envisagez d’acheter une voiture ancienne. Sinon, gardez à l’esprit qu’il est toujours préférable que vous vous procuriez une voiture dont la mécanique est irréprochable.

La vérification de la batterie

Si votre deux-roues n’a pas roulé depuis des mois, la première chose à vérifier est bien sûr la batterie. Pour ce faire, vous devez d’abord la tester avec un voltmètre ou un multimètre. Après sa longue immobilisation, la batterie aurait peut-être besoin d’être rechargée. En passant, notez que la durée de vie d’une batterie neuve est d’environ 2 à 3 ans.

Le contrôle de la tension de chaines et niveaux

Dans cette seconde étape d’inspection, vous devez contrôler les éventuelles anomalies comme des câbles effilochés, des cosses oxydées, des fuites d’huile ou encore des écrous desserrés. Il faut aussi examiner les commandes, l’éclairage, les clignotants ainsi que le feu de plaque. Les leviers et la pédale de frein arrière devront permettre facilement d’enclencher l’embrayage et le système de freinage. Pour dérouiller ces parties mécaniques, vous devez appliquer un lubrifiant protecteur de type WD40. Si vous constatez un quelconque dysfonctionnement pendant le contrôle, il faut alors procéder à un ou des remplacements.

L’entretien des suspensions, des freins et des pneus

Pour savoir si vos suspensions sont encore en bon état, vous devez monter sur la moto et faire des à-coups de manière à enfoncer les amortisseurs et voir s’ils reviennent à leur place initiale. Il faut contrôler la présence ou non de rayures et de saletés. En effet, ces dernières entrainent souvent des fuites d’huile. Si vous voyez que les suspensions sont sales, nettoyez-les tout simplement avec un produit dégraissant. Pour perdurer vos suspensions, une vidange de fourche s’impose tous les 20 000 km. En ce qui concerne le système de freinage, il est important de vérifier l’usure des plaquettes. Avec des plaquettes usées, la qualité du freinage sera mauvaise. Une plaquette de frein qui présente une épaisseur de garniture en dessous de 2 mm, devrait être remplacée. Le niveau d’usure et la pression des pneus sont aussi des éléments à considérer. Vous devez alors voir comment est l’état de la bande de roulement et des flancs.

Quels sont les points essentiels à, connaitre pour entretenir une moto ?

La maintenance est essentielle pour la moto et lui évite des pannes régulières. D’ailleurs, un manuel d’entretien est toujours fourni avec ce type d’engin lors de son acquisition. En premier lieu dans ce cas, sachez que la vérification de la batterie fait partie de la procédure de maintenance la plus importante. En effet, le voltage doit être testé de manière fréquente pour pallier à tout souci de démarrage et également pour éviter un dysfonctionnement au niveau de l’éclairage. À part cela, procéder à un contrôle régulier de l’huile est fortement recommandée, car elle facilite les frottements mécaniques dans le moteur. Ce qui va empêcher la motorisation de surchauffer. Il est ainsi nécessaire de changer régulièrement cette huile en effectuant une vidange afin qu’elle reste opérationnelle. Outre cela, Il est recommandé de remplacer le filtre à huile régulièrement. Pour les motos équipées d’une chaîne, la tension de cette dernière doit être vérifiée avant chaque prise en main. De même, le graissage de la chaîne doit se faire fréquemment pour optimiser la performance de l’engin. Et enfin, pour des raisons de sécurité, la vérification du liquide de frein est obligatoire. Il en va de même pour l’éclairage qui doit être toujours en état de marche. Ceci afin de limiter tout risque d’accident.

Comment se préparer pour l’hiver ?

L’hiver est une saison qui peut nuire à votre moto si celle-ci n’est pas entretenue de manière adéquate. En effet, pendant l’hiver, la moto ne sortira que très peu ou pas du tout de votre garage. Toutefois, il est indispensable d’y appliquer l’entretien nécessaire en prévision du grand froid. L’humidité accumulée par une baisse de température trop prononcée peut causer du tort aux pièces qui composent votre machine. De ce fait, pour commencer, veillez à boucher le trou d’échappement pour éviter les rouilles. De plus, il est conseillé d’enlever toutes les pièces détachables qui ne résistent pas à l’humidité. Par la suite, la vidange est impérative pour préserver l’état du moteur. Concernant le réservoir, il doit être vidé et graissé. Sinon vous pouvez également le remplir d’essence pendant l’hivernage. Ensuite, pour éviter la décharge de la batterie, mieux vaut la débrancher. Après cela, pensez à vaporiser toute la moto avec un produit antirouille, puis recouvrez-la avec de la cire pour véhicule. Pour finir, recouvrez votre machine sous une bâche afin de la protéger au mieux des dégâts du froid.

Le nettoyage de la moto

Pourquoi laver sa moto ? Il faut savoir que les pièces encrassées vieillissent plus vite. En effet, à cause des salissures, les corrosions vont faire surface à une vitesse grand « V ». C’est pour cela que le nettoyage de votre moto doit faire partie de vos priorités. Les procédés sont simples dans ce cas. Il faut avant tout dépoussiérer la machine avec un jet d’eau à faible pression sur toute sa surface. Ensuite, utilisez des produits dégraissants ou du liquide vaisselle pour le dégraissage des parties apparentes. L’utilisation du lavage à haute pression est déconseillée parce que l’eau peut atteindre les parties électriques. Ceci étant, afin de redonner fière allure à votre moto, utilisez un chiffon et du savon ou du liquide vaisselle pour la faire briller. Il faut noter que laver la moto avec du chiffon sous le soleil favorise l’éclat de sa carrosserie. Outre ces points, pendant un nettoyage, protégez votre échappement en mettant un bouchon. L’entrée inopinée de l’eau dans cet élément peut attaquer le moteur et ainsi, provoquer un dysfonctionnement à ce niveau. Et pour terminer, concernant le lavage du moteur, il est préférable de faire appel aux spécialistes pour l’effectuer.

Que devez-vous savoir sur l’entretien d’une voiture

Sachant que l’entretien est encouragé par les constructeurs de voiture, un guide d’entretien vous est remis lors de l’achat de votre véhicule. Les mesures à prendre ainsi que les techniques de vérification de base sont incluses dans ce guide. Par exemple, le changement de filtre à air ainsi que les manières de procéder vous seront indiqués dans votre guide. Ce manuel est utile et peut vous aider en cas de pépin. Mais également, il est nécessaire de le conserver soigneusement, car il est accompagné d’un carnet d’entretien qui permet de suivre les dates et les fréquences d’entretien. Dans ce cas, on pourra y noter que la vidange du moteur doit être effectuée à chaque 5 000 km parcouru. Il est recommandé de ne pas négliger ce point parce que le bon fonctionnement du mécanisme du moteur dépend surtout de la qualité de l’huile utilisée. À part cela, le liquide de frein et le niveau de l’huile doivent être suivis de près pour avoir une voiture en parfait état. Ensuite, à chaque 60 000 km parcouru, le remplacement des bougies ou des filtres à gas-oil est conseillé à une certaine période mentionnée dans le carnet de maintenance pour préserver la puissance de votre automobile. En outre, le propriétaire doit garder un œil sur la batterie au risque de voir son véhicule tomber en panne.

Conduire prudemment

La façon de conduire fait aussi partie intégrante de l’entretien de la voiture. Une bonne conduite assurera la longévité des pièces de votre véhicule. Il est dans ce cas nécessaire d’avoir les bons gestes pour cultiver son véhicule au mieux. De ce fait, il est nécessaire avant de prendre la route de faire chauffer le moteur de votre voiture. À part cela, l’augmentation de vitesse doit se faire petit à petit sans forcer. En effet, forcer l’accélération peut causer des dégâts importants sur le moteur. Concernant le passage de vitesse, le bon timing sur le régime permettra à la voiture de bénéficier d’une belle performance. Et pour préserver l’état du moteur, le conducteur doit faire bon usage du système d’embrayage. Pour ce faire, vous devez rouler en point mort pendant une descente. À ce moment, il est inutile de garder votre pied sur la pédale d’embrayage. Par ailleurs, pour le bien du disque d’embrayage et afin de vous permettre d’obtenir un démarrage parfait, mieux vaut relâcher doucement le pédalage d’embrayage après l’avoir sollicité.

Laver sa voiture

Un nettoyage régulier permettra à votre véhicule de perdurer dans le temps. De plus, cela limitera le vieillissement précoce de ses pièces. Pour ce faire, vous devrez laver régulièrement la carrosserie. Les soubassements doivent également être décrassés le plus efficacement possible, car c’est là que les boues sont les plus épaisses. Un manque de vigilance pourrait conduire à une dégradation accélérée de votre véhicule. À part cela, pour ne pas abîmer la peinture de votre carrosserie, pensez à nettoyer en profondeur les giclures de liquide de frein et de carburant. Ce sont des produits extrêmement nocifs qui pourraient écailler rapidement votre peinture. Par ailleurs, le nettoyage de vos pare-brises et vitres doit aussi se faire régulièrement et soigneusement. De cette manière, vous pourrez profiter d’une bonne visibilité lorsque vous conduisez. Pour finir, débarrassez régulièrement les jantes de votre auto des boues persistantes, car elles favorisent les rouilles.

À quoi sert l’huile moto ?

Il faut savoir que l’huile est une substance qui lubrifie les éléments dans le moteur afin les dégâts dus aux frottements des pièces. En ce sens qu’elle protège ces dernières afin qu’elles ne s’usent pas rapidement. À part cela, l’utilisation d’une huile adéquate assure le bon fonctionnement de la moto. En effet, elle facilite le frottement et les mouvements des pièces entre elles. Par ailleurs, l’huile moto est aussi un agent qui assure l’hygiène du système de motorisation. Dans ce cas, elle va empêcher les poussières et les autres substances d’affaiblir la puissance de la moto. En outre, ces substances vont être retenues par l’huile pour être ensuite évacuées. Il faut savoir que quand le moteur est allumé, il commence à chauffer suite aux entrechoquements des pièces qui le constituent. Sans l’huile, une surchauffe peut vite arriver et endommager la machine. Aussi, cette dernière joue également le rôle de stabilisateur. Mis à part ces points, cela permettra aussi au moteur d’être plus performant et robuste. De plus, le graissage offre le moyen aux engins de ne pas faire de bruit pendant les frottements entre les pièces.

Ce que vous devez savoir sur les différents types d’huile

Il existe 3 types d’huile moteurs pour moto sur le marché, à savoir, l’huile minérale, l’huile synthétique ainsi que l’huile semi-synthétique. L’huile minérale est un produit dérivé du pétrole brut. En tant que produit raffiné, il est efficace comme lubrifiant. Ce type d’huile est recommandé pour les voitures anciennes et les motos dont le tour du moteur est moins fréquent. Actuellement, l’huile minérale est difficile à trouver étant donné que sa production est de plus en plus limitée. À part cela, l’huile synthétique est conçue pour les engins assez puissants. Étant résistante à la température, elle est vue comme étant tenace et ne se détériore pas rapidement. L’huile synthétique est quant à elle recommandée pour les motos et les voitures de sport. En mélangeant les caractères de ces deux types de lubrifiant, l’huile semi-synthétique est également une substance robuste, mais elle convient plus aux routières. Ce type d’huile est adapté à tous genres de motos. Étant un produit standard, elle s’adapte à n’importe quelle bécane.

La viscosité de l’huile

Des indices sont généralement inscrits sur les bidons d’huile. Ces indices varient de 5W30 à 15W40. C’est le format FWC. La question est de savoir que représentent ces indices. La lettre W signifie Winter, la lettre F indique le froid et le C signifie chaud. Si le chiffre devant la lettre W est petit, cela annonce que l’huile est utilisable même dans une condition froide. Le chiffre qui suit la lettre W représente la résistance de l’huile à des températures élevées. Il faut savoir de ce fait que la viscosité de l’huile varie selon sa nature. Le 15W40 et 20W50 sont de l’huile minérale. Le 5W30 et 5W40 sont constitués d’huile synthétique tandis que le 10W40 est une huile semi-synthétique. D’usage régulier, l’huile 10W40 est la mieux adaptée. Pour les motos de course, le 10W60 répondra à vos besoins.

Le carnet d’entretien : un document guide

Selon le Code de la route, dans son article L.311-1, il est impératif de procéder à l’entretien d’une voiture, après l’avoir fabriquée, commercialisée et mise en circulation. Et si cette dernière venait à s’abimer, il est aussi obligatoire d’effectuer sa réparation ou sa destruction si elle n’est plus réparable. Cela, afin d’assurer la sécurité des utilisateurs et du propriétaire, mais également, des usagers de la route. C’est en partie, grâce à cette loi qu’il est devenu obligatoire de disposer d’un carnet d’entretien. Ce dernier est mis à la disposition par le constructeur et permet de faire des suivis et des contrôles, mais aussi de noter les procédures d’entretien effectuées et à faire. En d’autres termes, toutes les voitures qui sont en circulation ou qui sont en vitrine disposent de leur propre carnet d’entretien. Et cela, quel que soit le modèle du véhicule, sa marque ou son type de moteur. Concernant le contenu de ce carnet, il est essentiel de le mettre à jour à chaque entretien et révision effectué. De ce fait, si vous avez un souci ou que vous passiez un contrôle technique, il certifiera que vous avez réalisé les opérations. De plus, vous pourrez également faciliter la revente en présentant ce carnet à l’acheteur, gage d’un bon entretien du véhicule. Dans ce carnet, on verra également, la fréquence de l’entretien qu’il faudra respecter. Cette fréquence, cependant, va dépendre du modèle du véhicule, de son type de moteur, mais aussi, du nombre de kilomètres effectués, de l’âge de la voiture ainsi que de son utilisation. Généralement, si votre voiture utilise l’essence comme carburant, il faudra faire l’entretien tous les 15 000 km. Pour les voitures diesel, l’entretien se fera au bout de 20 000 ou 30 000 km selon son usage.

Ce que l’on voit dans le carnet

Pratiquement, durant la révision de la voiture, ce ne sont pas tous les éléments qui vont être contrôlés. Ce sera votre carnet d’entretien qui va définir quand et quoi entretenir ou réparé. Ce carnet en d’autres termes, va vous servir comme un véritable tableau de bord d’entretien en vous montrant qu’est ce qu’il faut réparer ou surveiller et quand. Il se présente donc, comme un tableau, avec d’un côté le kilométrage et de l’autre, les éléments à voir. Pour ce faire, les suivis vont se faire à partir de 7 500 km et ensuite, 10 000 km, 15 000 km, 20 000 km, et tous les 10 000 km après cela. Comme éléments à vérifier, on a en premier lieu, les liquides. Il peut s’agir de la nécessité de vidanger l’huile, du remplacement du liquide de frein ou de celui du système de refroidissement, du liquide lave vitre, de celui de la boite de vitesse, du circuit hydraulique ou de la pompe de direction. Dans ce cas, s’il y a des réparations faites, vous devez le mentionner au niveau du kilométrage, et s’il y a une prévision de suivi ou de réparation, vous le marquerez dans la colonne de kilométrage y afférente. On fera également le contrôle de tout ce qui est élément de filtration, du système de freinage, les éléments électriques, les dispositifs de liaison au sol, ainsi que les éléments annexes comme l’échappement, les courroies, les cardans, etc.

Vérifiez les bougies d’allumage

En général, la fumée blanche qui s’échappe du conduit arrière de la voiture est due à la vaporisation de l’eau par une forte chaleur. Lorsque la voiture est froide, au démarrage, cet échappement est tout à fait normal. Dans ce cas, il y aura la combustion froide, car la température est basse dans les chambres de combustion. Ce sont les bougies qui chauffent normalement ces chambres de combustion. Et si dernières ne remplissent pas exactement leur fonction et que la fumée persiste, vous devez procéder à leur changement. À noter dans ce cas, que les bougies doivent être remplacées au moins une fois par an. Par ailleurs, la logique se traduit comme suit dans un moteur. Plus la température est basse, plus il faut compenser par la pression. Dans ce cas, il faut chauffer la chambre pour arriver à une combustion et à des pressions plus faibles. La meilleure solution d’y remédier c’est de respecter les délais d’entretien et de faire des contrôles réguliers.

Vérifiez la culasse ou le joint de culasse

Si une fumée blanche persiste, il faut également voir du côté du moteur. S’il consomme beaucoup d’eau, c’est qu’il y a forcément une fuite au niveau des joints de culasse. Ces deniers peut être poreux et donc, défectueux. Pour cela, vous devez vérifier constamment le niveau de l’eau, si effectivement, il diminue. Sinon, le voyant de température moteur s’activera pour dire qu’il y a une hausse de pression qui finira par handicaper le véhicule. Si ce cas se présente, vous devez aller chez votre garagiste pour régler le problème. Seul un professionnel peut diagnostiquer et faire un état détaillé de l’ampleur des dégâts. Il pourra alors, proposer les réparations ou remplacements à faire. En moyenne, pour réparer un joint de culasse c’est à dure, la pochette joint, les vis, le kit distribution, la pompe à eau, le radiateur ainsi que le thermostat, il vous faudra entre 550 et 700 euros, selon le modèle de la voiture, avec plus de 3h de main d’œuvre !

Quelques points à voir

Il faut aussi pensé à remplacer la bielle si vous n’arrivez toujours pas à trouver la source de la fumée blanche. Cette structure a pour fonction principale de transformer le mouvement alternatif du piston, fixé à l’autre bout, en mouvement rotatif. Si elle ne fonctionne pas normalement, c’est qu’elle est « flambée ». Le seul recours est d’aller chez un professionnel pour la réparer. Mais à côté, vous devez contrôler minutieusement le circuit de refroidissement ou le niveau dans le vase d’expansion, étant donné qu’une fuite diminuera la quantité du liquide. Ce qui entraine la surchauffe du moteur. Mais d’autres pièces peuvent également être défectueuses comme le thermostat ou le radiateur… Dans tous les cas, pour en avoir le cœur net et de se débarrasser du problème à long terme, confiez votre voiture à de vrais professionnels.

Le fonctionnement du système de freinage

D’une manière générale, une voiture est munie de freins à disque sur sa partie avant et d’un frein à tambour sur sa partie arrière. De ce fait, le mode de fonctionnement de ces deux freins n’est pas le même. Il sera aussi nécessaire de savoir que les plaquettes qui sont sur le disque du frein avant vont être frôlées par des pistons. Ce système est déclenché à l’aide de la pression du liquide de frein. Contrairement à cela, le mode opératoire des freins à tambour est tout autre. En effet, les garnitures du tambour seront bloquées par les mâchoires du frein au moment où le chauffeur appuiera sur la pédale. Toutefois, la finalité de ces deux types de systèmes sera toujours d’arrêter la voiture, que ce soit de manière douce ou brusque. Cela varie du réglage ou de l’usure des pièces qui les constituent. D’autres facteurs peuvent également entrer en jeu et avoir un impact sur la sensibilité du freinage. Ils peuvent engendrer des dysfonctionnements divers au niveau du système de freinage.

Les différents problèmes au niveau du système de freinage

Tout d’abord, sachez que l’ancienneté et l’usure des pièces constituant le système de freinage peuvent mener à un dysfonctionnement du frein. En effet, à force de se frotter, l’épaisseur des disques diminue avec le temps. En conséquence, la voiture peut avoir de plus en plus de mal à freiner correctement. À noter que si la garniture qui compose le frein est trop usée, le frein ne répondra plus peu importe la force avec laquelle vous allez appuyer sur la pédale. À part cela, les autres dysfonctionnements sont causés par des anomalies au niveau des autres composants de la voiture. En outre, des tuyaux grippés peuvent empêcher le liquide de frein d’arriver à destination. Face à ce blocage, la commande du chauffeur sera compromise et la voiture continuera à rouler. De même, une fuite détectée au niveau de ces tuyaux peut rendre l’arrêt de la voiture impossible. De ce fait, il n’y aura aucune pression sur les pistons et appuyer sur la pédale ne servira à rien. Les mauvais réglages sont aussi des raisons de mal fonctionnement du système de freinage. Par exemple, la présence de bulles d’air dans les tuyaux produit une difficulté d’arrêt.

L’entretien et les suivis sont nécessaires

La détérioration des pièces d’une voiture est inévitable et est dans la logique du cycle de vie du véhicule. Par contre, il est possible de limiter les dégâts en effectuant un entretien régulier. À cet effet, la vérification des disques de freinage doit se faire à partir de 20 000 km parcourus environ. Les professionnels recommandent également le remplacement de ces pièces si l’épaisseur des deux faces est inférieure ou égale à 1 mm. Généralement, les voitures ont des témoins d’usure de système de freinage. En cas d’absence de ce témoin, la vérification manuelle, c’est-à-dire en enlevant les roues, est nécessaire. Concernant le liquide, il doit être révisé le plus souvent possible afin d’assurer le bon fonctionnement des plaquettes. Il est important de savoir que le contrôle, le remplacement ainsi que les réglages divers de ce système doivent être faits par des spécialistes et de manière régulière en suivant un carnet d’entretien même si vous ne ressentez aucun souci au niveau du freinage.