Commencer par apprendre le VTT

Si vous voulez apprendre à monter en motocross, il est judicieux de commencer par le VTT. Cela va vous familiariser au pilotage sur terre. Lorsque vous allez commencer à ressentir certaines sensations, il se peut même que vous soyez tenté d’effectuer des petits jumps. Le vélo tout-terrain va vous permettre entre autres de rouler sur une piste de terre avec quelques petites bosses sans pour autant prendre trop de risque.

Acquérir un motocross et équipement

Faire du motocross nécessite pour le motard l’achat d’une moto et de son équipement. Que ce soit un petit ou un gros cylindré, vous avez le choix entre l’achat d’un deux-roues neuf ou d’occasion. Mais pour votre première expérience en conduite de motocross, il est conseillé d’opter pour un plus petit moteur. En effet, ces motos ayant ce type de motorisation sont plus légères et plus faciles à prendre en main. En outre, vos accessoires doivent être de qualité afin de vous protéger correctement. Avant chaque essai en deux-roues, vous devez veiller à ce que votre équipement soit convenablement porté.

Intégrer un club

Effectivement, si vous souhaitez progresser rapidement, l’idéal est de s’inscrire dans une école de motocross. Pour cela, il reste à vous renseigner auprès des établissements de formation près de votre domicile. Des installations spécialisées et des professionnels seront là pour vous permettre d’apprendre la conduite d’un motocross dans les meilleures conditions possibles.

Quelques erreurs basiques à éviter

En tant que débutant, il arrive qu’on soit un peu confus sur la manière de porter les accessoires pour moto. Ainsi, quand vous enfilez votre équipement, il faut faire attention par exemple à ne pas mal placer vos lunettes TT, à ne pas sortir votre maillot à l’extérieur du pantalon ou encore à ne pas porter vos protections tout-terrain sous votre maillot.

À qui adresser sa demande de duplicata de permis de conduire ?

Depuis 2017, la demande de duplicata du permis de conduire s’effectue désormais en ligne. Toute la procédure se fait sur le site officiel de l’Agence nationale des titres sécurisés ou sur www.permis-de-conduire.com. Pour cela, il faut commencer par créer son compte sur ANTS. Si vous n’avez pas accès à Internet, sachez qu’en cas de perte, de vol ou de détérioration de votre permis, vous pouvez effectuer les démarches auprès d’un des points d’accès numérique. Vous pouvez trouver ces derniers dans les préfectures de France. Si vous ne savez comment fonctionne le point d’accès numérique, vous trouverez de l’aide auprès du personnel de la préfecture.

Si votre permis de conduire a été volé, il faut d’abord faire une déclaration de vol auprès d’un commissariat de police ou à la gendarmerie. Vous aurez besoin du récépissé de déclaration de vol pour pouvoir conduire sans permis pendant un délai de 2 mois. La déclaration de vol vous permettra aussi de constituer votre dossier pour l’obtention de votre duplicata pendant ce délai de 2 mois.

Perte du permis de conduire : documents à réunir pour le duplicata

Si vous avez perdu votre permis de conduire, le site de l’ANTS vous permet d’en faire la déclaration en même temps que la demande de duplicata. Vous obtiendrez également une attestation de perte valable pendant 2 mois pour pouvoir conduire sans permis. Pour entamer la procédure, vous aurez besoin :

– Du code de photo-signature numérique : vous l’obtiendrez chez un photographe agréé. En cas de non-accès à la photo-signature, vous pouvez envoyer par courrier un FPS ou formulaire photo-signature.

– D’une pièce d’identité
– D’un justificatif de domicile de moins de 6 mois ou d’un justificatif de résidence en France pour les étrangers
– D’un paiement de la somme de 25 € par carte bancaire pour le duplicata

Il est à remarquer que la procédure n’est pas la même si vous avez perdu votre permis de conduire à l’étranger. Vous serez tenu de faire une déclaration de perte auprès des autorités compétentes du pays dans lequel vous vous trouvez. Vous obtiendrez alors un récépissé de déclaration de perte. Par la suite, vous devez vous rendre au consulat ou à l’ambassade de France à l’étranger pour obtenir le document qui vous permettra de conduire sans permis provisoirement et en toute légalité.

Vol du permis de conduire : documents à réunir pour le duplicata

Si votre permis a été volé, vous aurez besoin des documents suivants pour faire la demande de duplicata :
– Du récépissé de déclaration de vol
– Du code de photo-signature numérique
– D’une pièce d’identité
– D’un justificatif de domicile de moins de 6 mois ou d’un justificatif de résidence en France pour les étrangers
– D’un paiement de la somme de 25 € par carte bancaire pour la fabrication du duplicata

Détérioration du permis de conduire : documents à réunir pour le duplicata

Pour une demande de duplicata de permis de conduire pour cause de détérioration, vous devez vous munir :
– Du permis ou de la photocopie du permis à remplacer.
– Du code de photo-signature numérique
– D’une pièce d’identité
– D’un justificatif de domicile de moins de 6 mois ou d’un justificatif de résidence en France pour les étrangers
– D’un paiement de la somme de 25 € par carte bancaire pour la fabrication du duplicata

Suivi de la procédure d’obtention du duplicata

Vous recevrez un mail de confirmation une fois que votre demande de duplicata a été bien reçue. Une fois la procédure de demande de votre duplicata de permis de conduire effectuée, un service en ligne vous permet de suivre l’évolution de la production de votre duplicata. Il vous suffit de voir dans le tableau de bord les demandes de duplicata de permis de conduire en cours. Par ailleurs, comme vous avez fourni votre adresse mail ainsi que votre numéro de téléphone, vous serez notifié par mail ou par SMS à chaque étape de production de votre duplicata.

La vérification de la batterie

Si votre deux-roues n’a pas roulé depuis des mois, la première chose à vérifier est bien sûr la batterie. Pour ce faire, vous devez d’abord la tester avec un voltmètre ou un multimètre. Après sa longue immobilisation, la batterie aurait peut-être besoin d’être rechargée. En passant, notez que la durée de vie d’une batterie neuve est d’environ 2 à 3 ans.

Le contrôle de la tension de chaines et niveaux

Dans cette seconde étape d’inspection, vous devez contrôler les éventuelles anomalies comme des câbles effilochés, des cosses oxydées, des fuites d’huile ou encore des écrous desserrés. Il faut aussi examiner les commandes, l’éclairage, les clignotants ainsi que le feu de plaque. Les leviers et la pédale de frein arrière devront permettre facilement d’enclencher l’embrayage et le système de freinage. Pour dérouiller ces parties mécaniques, vous devez appliquer un lubrifiant protecteur de type WD40. Si vous constatez un quelconque dysfonctionnement pendant le contrôle, il faut alors procéder à un ou des remplacements.

L’entretien des suspensions, des freins et des pneus

Pour savoir si vos suspensions sont encore en bon état, vous devez monter sur la moto et faire des à-coups de manière à enfoncer les amortisseurs et voir s’ils reviennent à leur place initiale. Il faut contrôler la présence ou non de rayures et de saletés. En effet, ces dernières entrainent souvent des fuites d’huile. Si vous voyez que les suspensions sont sales, nettoyez-les tout simplement avec un produit dégraissant. Pour perdurer vos suspensions, une vidange de fourche s’impose tous les 20 000 km. En ce qui concerne le système de freinage, il est important de vérifier l’usure des plaquettes. Avec des plaquettes usées, la qualité du freinage sera mauvaise. Une plaquette de frein qui présente une épaisseur de garniture en dessous de 2 mm, devrait être remplacée. Le niveau d’usure et la pression des pneus sont aussi des éléments à considérer. Vous devez alors voir comment est l’état de la bande de roulement et des flancs.

Le choix du bon blouson

Il existe de nombreux types de blousons moto sur le marché. Pour faire votre sélection, choisissez un blouson en fonction des saisons. En effet, il existe des blousons pour la saison estivale, et d’autres qui vous protègent mieux durant l’hiver. On peut également trouver des blousons pour la mi-saison. Vous pouvez également choisir votre blouson selon le prix. A noter que le tarif d’un blouson pour motard est fonction de sa matière. Celle-ci peut être en tissu renforcé, en cuir, en jean, etc. Mais quel que soit le type de blouson, assurez-vous que votre blouson soit confortable et qu’il permet de se protéger efficacement contre les frottements et les chocs en cas de glissade. Il faut aussi s’assurer que le blouson soit homologué et qu’il soit respectueux de la norme EN 13595.

Le choix du pantalon

Tout le corps doit être protégé. En plus de la blouson, il faut un pantalon pour motard. Oui, même s’il fait chaud, le short et le bermuda sont interdits. Le pantalon doit être long et équipé de protection au niveau des genoux. Il doit aussi vous apporter un maximum de confort durant la saison froide. Comme vous pouvez le voir sur https://bmw.europe-moto.com/fr/18-pantalons-moto-bmw-motorrad, le pantalon peut être en cuir, en jean renforcé ou en textile avec des protections adaptées. Les pantalons cordura sont cependant les plus recommandés du fait de leur polyvalence, leur résistance aux chocs et à l’abrasion. Ils sont aussi plus légers et souples. Ce type de pantalon possède également un système d’aération. Ce qu’il faut éviter, c’est d’opter pour les pantalons en nylon qui sont inconfortables et peuvent causer des réactions allergiques.
Avec le blouson et le pantalon, vous devez également vous équiper de chaussures adaptées qui protègent vos chevilles et tous les os au niveau des pieds. Pour ce qui est des gants, ils doivent protéger efficacement contre les intempéries et surtout du vent et de la pluie. Ils doivent également disposer d’un système anti-retournement de l’auriculaire.

Le type de moto

C’est le premier que vous devez tenir compte avant d’acheter une moto. Étant donné qu’elle va vous accompagner pendant plusieurs années, vous devez bien la choisir. Pour cela, renseignez-vous d’abord sur les spécificités de chaque modèle. Vous pouvez trouver ces informations en consultant les sites dédiés aux passionnés de moto, les forums, etc. Pour mieux choisir votre moto, veillez donc à ce que le modèle choisi convienne à votre expérience.
D’une manière générale, les motos se déclinent en 6 grandes catégories :
– La moto trail: sa cylindrée est généralement petite ou moyenne. Ce type de moto est facile à manier, économique et convient aussi bien aux petits chemins qu’aux grandes routes.
– La moto basique-utilitaire : elle a la même caractéristique que la moto trail. La seule différence est que ce type de moto est souvent utilisé pour des trajets en ville.
– La moto sportive : malgré son coût, la moto sportive est très appréciée grâce à sa puissance. Elle peut être maniée à faible vitesse et est peu confortable. Ce type de moto ne convient pas au transport de passager. Elle est donc faite pour la piste.
– La moto Grand Tourisme est dotée d’une cylindrée moyenne ou grosse. Elle permet de parcourir de longues distances, car elle est très confortable.
– La moto Cross, Trial, Enduro est destinée à la compétition. De ce fait, elle ne s’adapte pas à la conduite sur route. D’ailleurs, la majeure partie de ces motos ne sont pas homologuées.
– La moto Custom ou Roadster est peu intéressante, car elle ne protège pas du tout son conducteur.

Le prix

Il varie en fonction du modèle choisi. Mais d’une manière générale, il est compris entre 500 et 2 500 euros.
Si vous souhaitez acquérir une moto pas chère, n’achetez pas un modèle neuf. Optez plutôt pour une moto occasion. Ainsi, la prime d’assurance sera moins onéreuse.

Une question de sécurité

Donc, port de casque veut dire sécurité, mieux : vie. Car en cas de chute, le casque sert à protéger le crâne. Et pourquoi ne pas en choisir un qui soit confortable, beau ? Le casque ne doit pas être une source de gêne pour vous. On vous a peut-être orienté vers telle ou telle marque, il y a de nombreux modèles qui sont jolis et qui protègent bien. Mais en général, il est conseillé de se tourner vers des marques reconnues, car elles visent surtout la qualité, la résistance et bien sûr, le confort. Voici un aperçu de quelques marques qui font partie des meilleures sur le marché.

Les marques HJC et Shoei

Connaissez-vous cette marque coréenne ? Elle est le number one aux States et dans plusieurs pays de l’Europe. Pourquoi cela ? Parce que les casques qu’elle fabrique sont très performants, et mieux, ils sont vendus à des prix très compétitifs. De plus, vous bénéficiez d’un service après-vente de qualité. Cette marque ne lésine pas sur les recherches, l’innovation qui sont le coeur des activités de son Centre de recherche. Lors des crachs tests, ces casques obtiennent presque toujours les meilleures notes. Et quelle que soit la taille du casque que vous souhaitez avoir, vous en trouverez chez HJC. Il en existe jusqu’à 5XL, et le choix est large quant aux couleurs et au design. Les HJC FG-St et le HJC IS-17 sont parmi les plus réussis. Faites votre choix…Que dire des casques de chez Shoei ? Cette marque japonaise est une pionnière en la matière et elle fait dans le haut de gamme. L’innovation, la sécurité, le confort, telles sont les devises de Shoei à qui sa clientèle reste fidèle. Les pilotes de haut niveau font partie de ceux qui ne jurent que par Shoei côté casque, étant que cette marque se spécialise dans les casques intégraux de compétition.

Casques Nolan et Shark

Et les casques Nolan ? Les produits de cette marque italienne sont de haute qualité et destinées pour les scooters et les motos. Les équipements sont conformes aux standards américains DOT. Les résultats des tests sont toujours très probant puisque les casques Nolan obtiennent à tous les coups 4 et 5 étoiles. Le design vous plaira et la garantie est intéressante : 5 ans ! Jetez un œil sur le modèle N104, vous craquerez, c’est sûr. Parlons maintenant des casques Shark, français cette fois et leader chez nous. Un design sportif, une grande fiabilité, une sécurité à toute épreuve, ce sont les garanties de cette marque marseillaise. Ses casques sont tellement performants qu’ils dépassent même les normes d’homologation en vigueur. A adopter…

Le bon modèle de scooter pour les ados et adultes actifs

Les scooters sont des engins qui se déplacent plus aisément quand on est en ville. Avant l’achat, il faut donc, prendre en compte ce critère précis. Par ailleurs, on doit également faire en sorte d’avoir une conduite aisée sur le véhicule, c’est à dire que comme sur un vélo, le frein devrait être actionné à la main, au niveau du guidon. On doit aussi voir sur l’engin une transmission automatique ainsi qu’une selle qui permet de s’assoir aisément sur la moto. Si vous choisissez un scooter de moins de 125 cm3 dans ce cas, il devrait être facilement maniable. De ce fait, on peut le piloter sans avoir besoin de permis. Autrement, sur les modèles de 125 cm3 et plus, la maniabilité peut être plus difficile et demande la possession d’un permis A ou B pour pouvoir piloter le scooter. Et enfin, le scooter qui sera destiné aux jeunes et adultes dans le monde actif devra aussi disposer d’un coffre. La plupart du temps, ce coffre est situé sous la selle.

Le type de motorisation

Le type de motorisation est aussi à voir avant de s’acheter un scooter. Un scooter peut avoir une motorisation de 50 cm3, mais aussi, 100 et 125 cm3. On peut même en voir plus sur le marché. Ensuite, ces derniers sont répartis soit en 2 temps, soit en 4 temps. Pour les moteurs à 2 temps, on les retrouve le plus souvent sur les engins à 50 cm3. Ce type de scooter est assez léger, même s’il est puissant. Ce sont aussi des scooters avec une motorisation qui ne nécessite pas un grand entretien, mais qui peut consommer énormément de carburant, surtout si le moteur est équipé d’un carburateur. C’est aussi un petit véhicule polluant. Pour ce qui est des scooters à 4 temps, ils ont un moteur assez complexe et sont assez couteux à la réparation. Ils disponibles en 50 cm3 ou plus, mais dans ce cas, si le moteur fait moins de 125 cm3, le scooteur ne sera pas très performant. Il est aussi conseillé d’éviter d’acheter des modèles de scooter 4 temps low cost, car généralement, ils consomment beaucoup de carburants et peu endurants. Ce qui n’est pas le cas si le scooter est de marque et n’est pas dans la catégorie des low costs. Pour ce qui est de l’usage, sachez qu’un moteur de 50 cm3 ne peur rouler à plus de 45 km/h en zone urbaine. Les scooters avec ce type de moteur sont également idéals s’ils ne parcourent qu’un petit trajet. Entre 100 et 125 cm3, on peut rouler à plus de 100 km/h en ville, mais sans dépasser les 120 km/h. Il est aussi possible de transporter une personne à bord, mais c’est un scooter qui ne peut parcourir qu’un court trajet et qui est parfait si vous cherchez un moyen de locomotion non gourmand et pratique pour aller travailler. Et enfin, pour les scooters qui font plus de 125 cm3 (et pouvant aller jusqu’à 800 cm3), on les appelle également des maxi-scooters. Ils sont autorisés sur les autoroutes et on peut faire un voyage sur une longue distance avec ces derniers. Ces scooters peuvent aussi rouler à plus de 120 km/h et peuvent même atteindre les 200 km/h.

À quoi sert l’huile moto ?

Il faut savoir que l’huile est une substance qui lubrifie les éléments dans le moteur afin les dégâts dus aux frottements des pièces. En ce sens qu’elle protège ces dernières afin qu’elles ne s’usent pas rapidement. À part cela, l’utilisation d’une huile adéquate assure le bon fonctionnement de la moto. En effet, elle facilite le frottement et les mouvements des pièces entre elles. Par ailleurs, l’huile moto est aussi un agent qui assure l’hygiène du système de motorisation. Dans ce cas, elle va empêcher les poussières et les autres substances d’affaiblir la puissance de la moto. En outre, ces substances vont être retenues par l’huile pour être ensuite évacuées. Il faut savoir que quand le moteur est allumé, il commence à chauffer suite aux entrechoquements des pièces qui le constituent. Sans l’huile, une surchauffe peut vite arriver et endommager la machine. Aussi, cette dernière joue également le rôle de stabilisateur. Mis à part ces points, cela permettra aussi au moteur d’être plus performant et robuste. De plus, le graissage offre le moyen aux engins de ne pas faire de bruit pendant les frottements entre les pièces.

Ce que vous devez savoir sur les différents types d’huile

Il existe 3 types d’huile moteurs pour moto sur le marché, à savoir, l’huile minérale, l’huile synthétique ainsi que l’huile semi-synthétique. L’huile minérale est un produit dérivé du pétrole brut. En tant que produit raffiné, il est efficace comme lubrifiant. Ce type d’huile est recommandé pour les voitures anciennes et les motos dont le tour du moteur est moins fréquent. Actuellement, l’huile minérale est difficile à trouver étant donné que sa production est de plus en plus limitée. À part cela, l’huile synthétique est conçue pour les engins assez puissants. Étant résistante à la température, elle est vue comme étant tenace et ne se détériore pas rapidement. L’huile synthétique est quant à elle recommandée pour les motos et les voitures de sport. En mélangeant les caractères de ces deux types de lubrifiant, l’huile semi-synthétique est également une substance robuste, mais elle convient plus aux routières. Ce type d’huile est adapté à tous genres de motos. Étant un produit standard, elle s’adapte à n’importe quelle bécane.

La viscosité de l’huile

Des indices sont généralement inscrits sur les bidons d’huile. Ces indices varient de 5W30 à 15W40. C’est le format FWC. La question est de savoir que représentent ces indices. La lettre W signifie Winter, la lettre F indique le froid et le C signifie chaud. Si le chiffre devant la lettre W est petit, cela annonce que l’huile est utilisable même dans une condition froide. Le chiffre qui suit la lettre W représente la résistance de l’huile à des températures élevées. Il faut savoir de ce fait que la viscosité de l’huile varie selon sa nature. Le 15W40 et 20W50 sont de l’huile minérale. Le 5W30 et 5W40 sont constitués d’huile synthétique tandis que le 10W40 est une huile semi-synthétique. D’usage régulier, l’huile 10W40 est la mieux adaptée. Pour les motos de course, le 10W60 répondra à vos besoins.